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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2004-11-08 | [Acest text ar trebui citit în francais] | Înscris în bibliotecă de marlena braester Il est le dernier poil frisé de la moustache de Salvador Dali. Il est la balle égarée du Winchester de John Wayne. Il est le rasoir qui a tailladé la figure de métaphore de la poésie. Il est le dattier qui a adouci les arbres du paradis le long du Tigre et de l’Euphrate. Qu’avions-nous donc, demandé-je à Abdul Kader El-Janabi, au cinquième étage, rue Nollet, près de Clichy, à Paris. Où galopent-ils cette nuit les chevaux des mille et une nuits? (Combien de nuit dans une seule ligne j’ai mis combien d’amour il y avait dans les yeux de Mona, sa femme, quand son doigt fit briller le cadre du tableau cherchant la nostalgie du western de sa vie dans les rues de Bagdad). Dans la chambre à côté s’ouvrit un instant le frigidaire de la conscience un glaçon flottait comme une barque sur l’eau de fonte de son propre corps. (Traduit de l’hébreu par Marlena Braester)
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